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Dame Frelonne : l'histoire du nichoir n°3...
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N°3
Tu vas garder cette colonie à une seule condition, il faut maintenir la nourriture et faute d'en avoir comme visible, il faut en mettre. Pour cela le candi est pour moi la voie royale mais si tu ne peux pas en disposer le Kilo de sucre en morceaux convient aussi et il peut faire office de remplacement salvateur, l'idéal voudrait qu'il soit au plus près de la grappe.
Pour mémoire a cette période et c'est la question récurrente pour la mise en hivernage de la colonie, une ruche Dadant 10 cadres doit peser tout compris 33Kg pour passer sans encombre l'hiver..
Pour mémoire a cette période et c'est la question récurrente pour la mise en hivernage de la colonie, une ruche Dadant 10 cadres doit peser tout compris 33Kg pour passer sans encombre l'hiver..
lavignotte- V.I.P
- Messages : 53
Date d'inscription : 08/04/2012
Age : 82
Localisation : PAU
Re: Dame Frelonne : l'histoire du nichoir n°3...
ça va être l'occasion de vérifier une hypothèse.
le taux de survie des colonies sauvages la première année est faible (moins de 40%), la mortalité serait en grande partie due au manque de réserves pour l'hiver. Les abeilles ont due elles-même construire l'intégralité des rayons et donc consommer beaucoup plus de miel que pour une colonie non batiseuse.
Cela pourrait expliquer pourquoi les essaims sont très attirés par les rayons abandonnés d'anciennes colonies, ils économiserai ainsi beaucoup d'énergie à ne pas construire les rayons et ils sont capable d'engendrer bien plus de provisions. Le taux de survie d'un essaim occupant un ancien nid serai ainsi beaucoup plus élevé.
En gros les essaims pionnier sont "sacrifiés" pour que les suivants aient plus de chance, ce qui au final reste intéressant si l'on considère qu'une colonie est capable de produire un ou plusieurs essaims par an. Cette hypothèse n'est pas de moi, mais je me rappel plus dans quel livre j'ai lut ça !

le taux de survie des colonies sauvages la première année est faible (moins de 40%), la mortalité serait en grande partie due au manque de réserves pour l'hiver. Les abeilles ont due elles-même construire l'intégralité des rayons et donc consommer beaucoup plus de miel que pour une colonie non batiseuse.
Cela pourrait expliquer pourquoi les essaims sont très attirés par les rayons abandonnés d'anciennes colonies, ils économiserai ainsi beaucoup d'énergie à ne pas construire les rayons et ils sont capable d'engendrer bien plus de provisions. Le taux de survie d'un essaim occupant un ancien nid serai ainsi beaucoup plus élevé.
En gros les essaims pionnier sont "sacrifiés" pour que les suivants aient plus de chance, ce qui au final reste intéressant si l'on considère qu'une colonie est capable de produire un ou plusieurs essaims par an. Cette hypothèse n'est pas de moi, mais je me rappel plus dans quel livre j'ai lut ça !

dame frelonne
tu parles comme un oracle.
une colonie dite sauvage est maitre de son travail et de ses provisions contrairement à la ruche conduite qui elle se voit priver de son grenier. La colonie sauvage doit lutter contre les divers parasites surtout varroa destructor.
En règle générale ce sont les phéromones seulement qui attirent les essaims vagabonds c'est pour cela que l'exemple de la cheminée est à suivre. C'est un espace plus qu' intéressant pour la ville car nombre de cheminées sont condamnées aujourd'hui, les abeilles y sont présentent sans aucune gêne pour les propriétaires, seul l’essaimage révèle leur présence.
L'essaim primaire part avec la moitié de la colonie et sa ' vielle reine' ce qui me fait dire j'ai de la viande mais peu de ressource car spermatèque plus que consommée.
J'aime par dessus tout l'essaim secondaire qui lui a une jeune reine de l'année, elle est prête a assurer son boulot. avec la ponte des 2000 œufs par jour
c'est mon analyse sans aucune forme doctrinale de ma part ,le langage apicole doit vivre avec toutes ses respirations. .
une colonie dite sauvage est maitre de son travail et de ses provisions contrairement à la ruche conduite qui elle se voit priver de son grenier. La colonie sauvage doit lutter contre les divers parasites surtout varroa destructor.
En règle générale ce sont les phéromones seulement qui attirent les essaims vagabonds c'est pour cela que l'exemple de la cheminée est à suivre. C'est un espace plus qu' intéressant pour la ville car nombre de cheminées sont condamnées aujourd'hui, les abeilles y sont présentent sans aucune gêne pour les propriétaires, seul l’essaimage révèle leur présence.
L'essaim primaire part avec la moitié de la colonie et sa ' vielle reine' ce qui me fait dire j'ai de la viande mais peu de ressource car spermatèque plus que consommée.
J'aime par dessus tout l'essaim secondaire qui lui a une jeune reine de l'année, elle est prête a assurer son boulot. avec la ponte des 2000 œufs par jour
c'est mon analyse sans aucune forme doctrinale de ma part ,le langage apicole doit vivre avec toutes ses respirations. .
lavignotte- V.I.P
- Messages : 53
Date d'inscription : 08/04/2012
Age : 82
Localisation : PAU
Re: Dame Frelonne : l'histoire du nichoir n°3...
Merci pour vos infos, il y a de fortes chances pour que ce "squattage" de nichoir se reproduise régulièrement dans les années à venir... je pense reconstruire 2 nichoirs à frelons dans l'hiver en plus des 2 autres déjà disponibles. Il va falloir que je me trouve des apiculteurs sur mon nouveau secteur pour éviter de perdre les essaims 

Re: Dame Frelonne : l'histoire du nichoir n°3...
J'ai déjà eu l'opportunité de lire se sujet avant de m'être enregistré mais avec le printemps qui se rapproche, et vu les faibles réserves de miel que cette colonie avait à sa disposition j'aimerai savoir si cette colonie à survécu a cet hiver

beez happy- Messages : 6
Date d'inscription : 09/03/2014
Age : 25
Localisation : Montauban
Re: Dame Frelonne : l'histoire du nichoir n°3...
De passage sur Toulouse pour les vacances voici les nouvelles, apparemment l'hiver n'ayant pas été trop rude les petites se portent bien... Peu de prédation du frelon asiatique cette année, 1 ou 2 de temps en temps mais beaucoup moins que l'an dernier !


Re: Dame Frelonne : l'histoire du nichoir n°3...
Quelques images hivernales. Voici la fin de l'histoire, un apiculteur a récupéré l'essaim pour me libérer le nichoir. J'ai donc fait un peu de ménage (en prenant soin de laisser le haut des rayons pour le garder attractif pour les frelonnes de 2015) !


De beaux rayons d'environ 30cm x 20cm :



De beaux rayons d'environ 30cm x 20cm :

Re: Dame Frelonne : l'histoire du nichoir n°3...
Il en restait un peu dans les cellules operculées du haut du nichoir, juste de quoi gouter

Re: Dame Frelonne : l'histoire du nichoir n°3...
miam 
Je suis impressionnée par l'ordre et la rigueur !

Je suis impressionnée par l'ordre et la rigueur !
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